La route des Flandres par Claude Simon ont été vendues pour EUR 9,00 chaque exemplaire. Le livre publié par Editions de Minuit. Il contient 315 pages et classé dans le genre Thèmes. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.6 des lecteurs 496. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
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Description du livre La route des Flandres : Dur... - 2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.Dur...
Par Romur
Une unité de cavalerie est balayée dans la débâcle de 1940 (note : je savais qu’on n’était pas prêt pour cette guerre, mais je n’imaginais pas qu’on avait envoyé des cavaliers à cheval et sabre à la main !). Peu avant que les derniers débris ne soient faits prisonniers, le capitaine avance sabre au clair face à une mitrailleuse et se fait tuer.Tout le récit est fait des souvenirs d’un des soldats, qui passe et repasse en mémoire les jours et les heures qui ont précédé, ceux qui ont suivi, ceux qu’il a passé dans le camps de prisonniers.J’ai acheté ce livre car je voulais découvrir Claude Simon, prix Nobel français de littérature. Je n’avais pas noté qu’il fait partie du "nouveau roman" et de ses techniques littéraires... C’est certainement le livre le plus dur à lire (techniquement parlant) que j’ai jamais ouvert ! Dur à cause de la quasi absence de ponctuation et des aller-retours incessants entre le présent, le passé et le futur.Néanmoins, c’est un livre qui mérite d’être lu. Il nécessite seulement une grande concentration et du temps pour se plonger dans le flux du récit, pour arriver à le suivre en se laissant porter le ressac des événements, pour se laisser imprégner par l’ambiance et les impressions. Cet ouvrage ne mentionne aucune indication de date. poche."Les peintres ont bien de la chance. Il suffit au passant d'un instant pour prendre conscience des différents éléments d'une toile." Claude Simon choisit donc pour "cadre", aussi limité que celui d'un tableau, quelques heures d'une nuit après la guerre, au cours de laquelle les époques et les événements se confondent dans la mémoire du cavalier Georges : "Le désastre de mai 1940, la mort de son capitaine à la tête d'un escadron de dragons, son temps de captivité, le train qui le menait au camp de prisonniers, etc." Le fil de cette longue et foisonnante remémoration demeure le décès du capitaine de Reixach : suicide ou mort accidentelle ? Georges devra remonter jusqu'à Corinne, la veuve de ce dernier, pour trouver peut-être une réponse. "Description fragmentaire d'un désastre" était le premier titre de ce roman, un des plus lus de Claude Simon. On y retrouve une des préoccupations majeures de l'écrivain : "le cheminement même du temps, c'est-à-dire invisible immatériel sans commencement ni fin ni repère" et ses conséquences sur la pensée, à son tour déstructurée et inconsistante. --Laure Anciel
Par Romur
Une unité de cavalerie est balayée dans la débâcle de 1940 (note : je savais qu’on n’était pas prêt pour cette guerre, mais je n’imaginais pas qu’on avait envoyé des cavaliers à cheval et sabre à la main !). Peu avant que les derniers débris ne soient faits prisonniers, le capitaine avance sabre au clair face à une mitrailleuse et se fait tuer.Tout le récit est fait des souvenirs d’un des soldats, qui passe et repasse en mémoire les jours et les heures qui ont précédé, ceux qui ont suivi, ceux qu’il a passé dans le camps de prisonniers.J’ai acheté ce livre car je voulais découvrir Claude Simon, prix Nobel français de littérature. Je n’avais pas noté qu’il fait partie du "nouveau roman" et de ses techniques littéraires... C’est certainement le livre le plus dur à lire (techniquement parlant) que j’ai jamais ouvert ! Dur à cause de la quasi absence de ponctuation et des aller-retours incessants entre le présent, le passé et le futur.Néanmoins, c’est un livre qui mérite d’être lu. Il nécessite seulement une grande concentration et du temps pour se plonger dans le flux du récit, pour arriver à le suivre en se laissant porter le ressac des événements, pour se laisser imprégner par l’ambiance et les impressions. Cet ouvrage ne mentionne aucune indication de date. poche."Les peintres ont bien de la chance. Il suffit au passant d'un instant pour prendre conscience des différents éléments d'une toile." Claude Simon choisit donc pour "cadre", aussi limité que celui d'un tableau, quelques heures d'une nuit après la guerre, au cours de laquelle les époques et les événements se confondent dans la mémoire du cavalier Georges : "Le désastre de mai 1940, la mort de son capitaine à la tête d'un escadron de dragons, son temps de captivité, le train qui le menait au camp de prisonniers, etc." Le fil de cette longue et foisonnante remémoration demeure le décès du capitaine de Reixach : suicide ou mort accidentelle ? Georges devra remonter jusqu'à Corinne, la veuve de ce dernier, pour trouver peut-être une réponse. "Description fragmentaire d'un désastre" était le premier titre de ce roman, un des plus lus de Claude Simon. On y retrouve une des préoccupations majeures de l'écrivain : "le cheminement même du temps, c'est-à-dire invisible immatériel sans commencement ni fin ni repère" et ses conséquences sur la pensée, à son tour déstructurée et inconsistante. --Laure Anciel
Le Titre Du Livre : La route des Flandres
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